AA N’EST PAS LE REMÈDE UNIVERSEL
Ce serait pure vanité de prétendre que le mouve- ment des AA peut guérir tous les maux, même l’al- coolisme.
RÉFLEXIONS DE BILL, P. 285
Les premières années où j’étais abstinent, j’étais rempli de vanité et je croyais que les AA offraient la seule thérapie pouvant mener à une vie belle et heureuse. Le mouvement a vraiment été l’instrument de ma sobriété et, encore aujourd’hui après plus de douze ans, je continue de participer aux réunions, au parrainage et au service. Néanmoins, pendant mes quatre premières années de sobriété, j’ai dû recourir à une aide professionnelle parce que ma santé émotive était très défaillante. Il y a aussi ceux et celles qui ont trouvé la sobriété et le bonheur grâce à d’autres associations. Les AA m’ont appris que je n’avais qu’un seul choix : prendre tous les moyens pour favoriser ma sobriété. Le mouvement des AA n’est peut-être pas le remède universel, mais il est le centre de ma vie sans alcool.
Réflexions quotidiennes
Extrait du livre Réflexions quotidiennes
Copyright © 1991 par Alcoholics Anonymous World Services, Inc. Tous droits réservés.
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